À quelle population se destine ma pratique ?

Aux Patients, avec un inconfort, ayant besoin d'un soutien, venant découvrir comment améliorer leur qualité de vie.

Aux Clients, à la recherche d'un outil pour la performance, réussir des objectifs.

Parfois les deux se confondent, j'accueille la parole, avec bienveillance et en étant persuadé que la personne en face fait au mieux, en fonction du moment et de ses ressources mentales disponibles.

Mon rôle est d'accompagner vers le changement, un moyen d'arriver à franchir l'obstacle, quel qu'il soit.

Pour tous les âges ? Oui, plus de détails sur la page dédiée.

Certaines populations, comme les personnes LGBTQIA+ peuvent bénéficier d'un accompagnement, voir la page dédiée.

Pour qui ? En un mot ? TOUS

Connectopathies

La compréhension du cerveau a évolué ces dernières années, avec une vision révolutionnaire récemment : le connectome.

Image : © D. Duclap, B. Schmitt, A. Lebois, P. Guevara, D. Le Bihan, J.-F. Mangin, C. Poupon/ CEA-NeuroSpin

La communauté scientifique redécouvre le cerveau : le cerveau neuroglial. Les cellules gliales, s'avérant être plus que de simples supports aux neurones comme supposé précédemment.
Depuis le cerveau n’est plus vu comme un réseau de différentes aires au fonctionnement séparé mais comme un réseau plus diffu, complexe et des activations des aires cérébrales plus interconnectées.
La recherche a montré une altération de ce réseau dans certaines pathologies telles que la schizophrénie, la démence d’Alzheimer, la dépression et le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH ; en anglais : attention deficit hyperactivity disorder, ADHD). Ces pathologies sont particulièrement indiquées à une prise en charge par des TAC, ces techniques étant conçues pour améliorer les chemins dans le connectome, pour renforcer les liens peu actifs.

Plus d’informations : Network Analysis and the Connectopathies: Current Research and Future Approaches - Graeme Martin, University of Birmingham, Edgbaston, UK (lien)

Neuroanatomie structurelle et fonctionnelle dutrouble déficitaire d’attention avec ou sanshyperactivité (TDAH) V. Emond, C. Joyal, H. Poissant Université du Québec (lien)

Même pour les psychotiques ?

Longtemps les praticiens de l'hypnose, dissociative, se montraient hésitants vois s'interdisaient à proposer des séances à des patients psychotiques.

Le risque perçu était celui de faire vivre une expérience dissociative à une personne pouvant être destabilisée par cet outil car elle-même ayant tendance à la dissociation.

Les données issues de la pratique et celles des études menées montrent que les patients psychotiques, suivis, peuvent bénéficier d'une amélioration de leur qualité de vie avec une hypnose active telle que pratiquée par les TAC..